L'Europe le fait un pas en avant vers une culture de réparation, avec un nouveau droit qui pourrait redéfinir nos choix de consommateurs. Là Commission du marché intérieur du Parlement européen a récemment approuvé une proposition visant à promouvoir la réparation des biens plutôt que leur remplacement. Cette décision vise non seulement à inciter les consommateurs à opter pour des réparations, mais ouvre également de nouvelles opportunités pour le secteur du reconditionné.
Sujets de cet article :
Droit à la réparation : vers l'écologie et l'économie
La proposition vient juste approuvé vise à étendre le concept de puits de réparation au-delà de la période de garantie légale des produits. L’idée est d’encourager une nouvelle culture, dans laquelle les consommateurs sont incités à réparer les biens au lieu de les remplacer, contribuant ainsi à réduire l’impact environnemental et à promouvoir une économie plus durable. durable.
Si la proposition est adoptée, les vendeurs seront tenus de proposer le réparation gratuite des produits pendant la période de garantie légale, sauf si la réparation coûte plus cher que le remplacement. Pour encourager davantage les réparations, il est prévu une prolongation de la garantie légale d'un an pour les produits réparés.
Dans le cas où un bien ne peut être réparé, la proposition prévoit le possibilité de proposer des produits reconditionnés. Cela donne non seulement une seconde vie au bien, mais offre également une solution économique aux consommateurs.
Accès aux ressources de réparation
Un point clé de la proposition est lAccès garanti aux pièces de rechange, informations et outils nécessaires à la réparation, pour les réparateurs indépendants, les commerces qu'ils vendent remis en état et les utilisateurs finaux. Cela contribuera à rendre le processus de réparation plus transparent et accessible, permettant aux consommateurs d'avoir une vision claire des conditions de réparation, y compris des coûts et du temps requis.
Cette proposition intervient à un moment où l’Europe est de plus en plus consciente de l’impact environnemental et économique d’une cession prématurée d’actifs. Il est estimé que Acheter de nouveaux produits au lieu de les réparer coûte aux Européens 12 milliards d'euros par an, avec un impact environnemental important en termes d’émissions de CO2, d’utilisation des ressources et de production de déchets.
Ce qui va se passer maintenant
Le projet de proposition a été approuvé par la commission interne du Parlement européen et un vote est attendu entre 20 et le November 23. Une fois que le Conseil européen aura également exprimé sa position, le texte pourra avancer vers la fin de son voyage.